Michelle Grenier
Poète, fabuliste, parolière.
LA POESIE est l’essence du langage pour Michelle Grenier. Une langue qui cavale en bordure des marges, donnant voix aux laissés pour compte. Voix singulière qui nous invite à ne pas nous laisser tentaculer par le chiendent rampant.
FABLES
On prête souvent à la poésie des airs d'austérité voire de mélancolie. Ce n'est pas le cas de Michelle Grenier qui prouve le contraire et sans niaiserie, rimant avec une acuité personnelle sur les choses de la vie. Sur le ton satirique de la fable, elle dépoussière La Fontaine dans un grand éclat de rire, égratigne nos contemporains, source inépuisable d'inspiration tant nous sommes indécrottables!
LA PAROLIERE de chansons rend hommage à ses grands frères Nougaro, Brassens, Léo, Rimbaud qui ont ouvert la voie où crissent les semelles de vent.
Mes livres
LIVRE D'OR
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Laurence Chaudouët
6 Janvier 2024
Bonjour Michelle
J'ai lu votre recueil Poémienne, lu et feuilleté, j'y ai trouvé beaucoup d'enthousiasme, de diversité, de ferveur, et même d'humour. Je vous remercie de votre envoi et de votre dédicace. Continuez à caresser la rime, ou la non-rime. A bientôt .
Laurence
Kathleen Hyden David
3 Janvier 2024
Je me régale avec votre magnifique Echo de l'une. J' apprécie votre approche fine et subtile de la nature , écrit dans des formes maîtrisées, parfaites. Et puis voilà que je découvre Grimellerie : Ici commence un humour subtile porté par des formes poétiques parfaites. Quel plaisir : Gajeure que Cocktail, l'emberlificoteur, ballade du balayeur...Enfin , il y a cette quatrième partie où vous évoquez des personnages ou des êtres proches aux destins souvent tristes, avec votre langage poétique à la fois réaliste descriptif, porteur de vos émotions. Oui, Écho de l'une résonne fort en moi. Bravo pour ce beau et émouvant ouvrage .J' ai passé un moment agréable à vous lire.
Amitiés poétiques
Kathleen
Jean Louis Hivernat poète
1 Février 2023
Vos appréciations laudatives sur les poèmes d'Embrasements fertiles me touchent beaucoup car votre spontanéité a des accents indéniables de sincérité. Merci pour ce partage approfondi. Pour ma part, je trouve vos portraits- "Les vieilles dames", "Tsigane", "Gavroche du crayon", "Poémienne", "Métisse"- d'une rare clairvoyance qui dénote un sens aigu de l'observation. Votre goût pour la musique qui transparaît dans "Clarinette" et "Saxo" a certainement influencé la tonalité et le rythme de vos poèmes. Le résultat est surprenant. Votre verve créatrice, prolifique, insatiable ,généreuse, fertile s'appuie largement sur les métaphores originales qui caractérisent votre style littéraire. Vos poèmes, dont la dimension cosmique embrase l'univers, sont de véritables hymnes à la liberté, aux rêves, à la recherche de l'absolu.
Mon poème favori est "Barbara", portrait criant de vérité d'une grande dame de la chanson, admirable et puissante. Juste avant mon incorporation en 1968 au service de la coopération technique au Cameroun, j'ai séjourné quelques jours à Montpellier où Manitas de Plata ne passait pas inaperçu dans sa voiture décapotable. Bonne continuation.
Claude Cailleau
Rédacteur de la revue les amis de la rue Ventura
Sablé sur Sarthe
22Janvier 2022
Déjà, sachez que j’ai une préférence pour Poémienne, dans lequel je crois percevoir des accents de chansons de Jacques Brel, qui est je crois le grand poète de la chanson au XXème siècle. Vous l’a-t-on dit ? « Les vieilles dames », par exemple, ou « tzigane », ou « Gavroche du crayon » . C’est moins revendicatif que du Brel, mais il est inégalable. Il suffit d’écouter d’autres chanteurs s’approprier ses textes pour comprendre qu’ils ne peuvent l’approcher parce qu’ils n’ont pas son écrasante, et entraînante, personnalité. J’ai beaucoup lu Nathalie Lescop-Boeswillwald. Sa préface me touche par son humanité. On y devine une sensibilité à votre travail de poète.
Poémienne prix du recueil poétique des Amis de Thalie
préfacé par Nathalie Lescop -Boeswilwald
Directrice de la revue Les amis de Thalie
Ecrire reste la part secrète des âmes quand elles se sont diluées dans le chaos du temps. Pour Michelle Grenier,prix du recueil poétique des amis de Thalie, cela se révèle à la lueur d'une écriture fluide et légère, délicate et sensible pour évoquer le chagrin , Tu n'es plus Qu'un bras mort de rivière Ne laissant que poussière . Poémienne est une déambulation nomade divisée en trois parties : Ciel chagrin, Chemins braconniers et Embellie. Ce cheminement de l'âme nous emmène dans les sentiers de l'intime et dans le même temps, jette un regard éclairé sur le monde violent qui nous entoure. L'univers des artistes , poètes, peintres, est ainsi raconté dans une langue poétique poignante, tranchante et bouleversante, sans oublier l'univers intérieur du poète qui Tricote ces mots démaillés Et t'envoie ce mail émaillé Aux couleurs froissées de l' automne. Mais il n' est pas de vie sans espoir, sans chant nouveau, et la poète le sait mieux que quiconque ,malgré les doutes et les fêlures. Les chemins braconniers s'ouvrent comme une nouvelle saison pour nous emmener à l' embellie où Elle glane les herbes folles Et leurs paroles.
Michelle Grenier nous offre avec ses mots un voyage dans le temps et les humains pour nous aider à retrouver la lumière et le rêve lorsque nos météos intimes affichent la noirceur et la douleur et ainsi Nous marcherons debout Envers et contre tout .Chant profond de l'âme, Poémienne hisse sa voix au-dessus du chaos .
Recension de Antoine de Matharel Dans la revue Poésie sur Seine
Poémienne premier prix de poésie Les amis de Thalie.
Primé par les Amis de Thalie, préfacé par Nathalie elle même, ce recueil est au départ un élan d' enthousiasme mêlé de regret en hommages aux artistes disparus. Garcia Lorca, ce dormeur sans sommeil Aux paupières de terre , Somnambule sous la lune glacée. Cabu ; Gavroche du crayon, les ailes brisées de Van Gogh, le petit val de Rimbaud où résonnent ces vers ces vers si forts : Les vers rongent tout sauf la grâce de ta parole. La voie brisée, rauque , de Barbara, allant du murmure au souffle lyrique, forte et fragile ,traversée de fêlures. Chapeau l' artiste, hommage à Higelin, qui brames la vie intense, fuyant les singeries mondaines. La verve poétique de Mich' Elle Grenier, dont l' apostrophe accentue le féminin de son prénom ne s' adressent pas qu' aux défunts mais aussi aux vieilles dames contentes de quelques heures resquillées , sur celle qui dans leur dos ricane, la mort tapie en embuscade. Mieux encore, Poémienne nous entraîne dans les flots d'une poésie gaie, rebelle : Je prendrai mon essor, Au delà des forêts, Je rugirai les mots qui feulent, j' écrirai les textos qui buzzent. A un chapitre intitulé Ciel chagrin succède un autre titré chemins braconniers , puis le dernier chapitre, Embellie où Poémienne exprime son amour de la nature, des animaux , des fleurs, et son amour de la vie qu'elle célèbre ainsi : La vie, la danser à corps perdu, La hurler jusqu' à la démence.
Cette poussée de bonne humeur talentueuse peut s' adresser à ceux qui confondraient la poésie avec la seule inspiration de la mélancolie et nous aider dit Nathalie Lescop -Boeswilwald , à retrouver la lumière et le rêve lorsque nos météos intimes affichent la noirceur et la douleur. ,
Recension de Antoine de Matharel dans la revue Poésie sur Seine
Banquet de mots
De la métrique je m'en bats l'œil , quant à la rime, la poète ne s' en sert qu' à condition qu' elle s' abstienne d'être riche., ce qui ne pourrait freiner le flot très attachant de ses paroles. La poétique de Michelle Grenier ressemble à son :humeur , humour impétueux., comme le suggère le 1er titre de ses chapitres:
A la liberté et sa frangine, la marge. :elle ne s' accepte que libérée , marginale, à la façon de cette Poémienne qui dans les lignes de ses mains écrit mille fêlures, celles qui ouvrent les chemins à l'envers des nervures.
C' est cet envers là qui fait la vigueur et la différence de l' auteure.
Elle donne voix aux êtres singuliers: Nul ne sait où je crèche, Je n' ai ni lit ni calèche, La poésie c' est mon bivouac. Ailleurs , c' est un Capitaine des caniveaux, une Reine des gueuses où cet SDF dont l'unique maison fut jadis le ventre tout chaud tout rond de sa maman. Ou cet autre encore, à la façon de Boris Vian : Je voudrais pas crever par terre sur un carton pavé de bière. Elle suit, dans la fuite du quotidien , Rimbaud, sous le soleil brûlant d' Abyssinie , roc affreux sans un brin d' herbe, si loin des sources. Van Gogh , éclairant la nuit de son oeil sans sommeil. Elle célèbre l' amour, la fraternité, aux êtres qui lui sont chers, aux petits rien qui sont l' épice de la vie, elle chante la beauté qui ruisselle et dans une incantation elle s' adresse à elle même :Sois cette amie que tu aimes, a chuchoté le vent bohème.
Faulx La Montagne
Stéphen Moysan poète
30 Juin 2022
Bonjour Michelle
J' ai bien reçu Banquets de mots et Poémienne . Si j' avais des talents de critique, j' aurais écrit des éloges . Je peux dire simplement que j' aime lire votre poésie contemporaine qui touche à tout , abordant des sujets graves sur un ton léger. Voici le choix des 14 poèmes que j' ai réunis sur mon site:
https://www.eternels-eclairs.fr/poemes-michelle-grenier.php
Visitez le magnifique site de Stephen Moysan :
https://www.eternels-eclairs.fr/stephen-moysan.php
Albert Dauville
Saint Agrève Ardèche
15 Juin 2022
J' ai lu votre Banquets de mots et j' aime vos hommages rendus à nos poètes. Loin des sources, poignant hommage à Rimbaud . Quelle mélopée as-tu jouée en tirant sur les lacets de tes souliers blessés , un pied près de ton cœur. Ainsi que l'hommage à Nougaro , ce génie de la langue et du rythme, et dernier vers pour la route, vibrant hommage à Boris Vian, Je voudrais pas partir avant d' avoir goûté le pétillant de la pluie ...
Philippe Veyrunes
écrivain et poète
Arles
12 Janvier 2022
Bonjour Madame GRENIER
J'ai lu dernièrement avec beaucoup de plaisir vos deux recueils reçus courant décembre.
"Flocon chaton" est vraiment réussi. C'est de fait un ouvrage plutôt destiné aux enfants, mais on le lit avec plaisir, car votre inspiration est enjouée et variée, et les textes bien enlevés et bien tournés. Une note d'émotion bienvenue et pudique se dégage de certains et j'ai beaucoup aimé à ce titre "J'ai rêvé", "Oiseau étourdi" et "Mamée pissenlit". Les illustrations de la talentueuse Jeanne CHAMPEL-GRENIER sont tout à fait réussies et bienvenues (sans oublier la si jolie couverture) et "collent" à merveille à ces textes charmants, où l'on retrouve à la lecture un peu de notre âme d'enfant.
"Les Fables se rebiffent" est sur un registre plus élaboré. Vous avez évité l'écueil de ne bâtir l'ouvrage que sur des pastiches de fables de la Fontaine ou autres, ce qui aurait pu être lassant, même si vos textes sur ce plan sont bien troussés et réussis. Votre inspiration demeure diversifiée, vous maniez l'humour et la dérision avec bonheur, et on sourit inévitablement au fil des pages devant ces "portraits" et ces historiettes où les animaux ont la part belle, en symbolisant au besoin des types humains.
Félicitations et merci pour ces bons moments de lecture.
De mon côté, j'ai mis en chantier un recueil de nouvelles, mais la route est encore longue...
Je vous souhaite une année 2022 la meilleure possible et fertile en créations. Vos petits-enfants ont de la chance d'avoir une mamie aussi heureusement inspirée.
Bien cordialement.
Philippe VEYRUNES
André Prone
Sanary sur Mer
2 décembre2021
Bonjour Michelle
S'il m' arrive de m'ennuyer à la lecture de poésies insipides, j' avoue que votre Poémienne m' a rafraîchi le coeur. Vous avez ce don, qui est rare, d'émerveiller le lecteur. Si tout le recueil m' a transporté, j' ai retenu particulièrement le poème l' évadée.
Au dessus de la foule qui passe
Tel un oiseau baigné d'espace
M' azurant au bonheur de voler,
Sur tes ailes qui palpitent
je voguerai
ô liberté.
Bravo!
Avec mon souvenir poétique le meilleur
André
Gilbert Milloud
Saint Jean de Muzols
2 Novembre2021
Bonsoir Michelle
Merci pour votre nouvelle "Le festin de Juliette ",ce n'est pas la grande bouffe, ni Pantagruel, c'est plus raffiné. J'aime bien la description détaillée et vivante des scènes, la chorégraphie. Par ailleurs, je vois un film ou un rêve via le souvenir de même que quand je lis vos poèmes j'entends une musique. Et puis l'on sait depuis Platon qu'au détour d'un repas ,le palais comblé ,l'esprit peu atteindre des sommets. Un peu frustré qu'il n'y ait pas le chapitre suivant.
Bien à vous.
Gil
Florence Taillasson
Recension dans la revue Florilège
Novembre 2021
FLOCON CHATON DE Michelle GRENIER
Poète, parolière de chansons, Michelle GRENIER nous livre un recueil de trente poèmes pour les sept à cent sept ans et plus. A son œuvre sont jointes des illustrations épurées de Jeanne Champel Grenier qui entrent en résonance ainsi que la peinture de JR pleine de douceur en couverture. Michelle la Poémienne, fabuliste, jongle avec jubilation avec les rimes, les sonorités et les rythmes. Elle délivre avec bonheur des chutes inattendues nettes et heureuses. Ses poèmes pourraient être chantonnés, scandés par les enfants . Une cigogne s’ enrhume sous la brume . Une marmotte dit un mot à ses douze marmots...Au fil des saisons la nature se transforme, les découvertes des enfants les enchantent. Avec brio et légèreté, la poète nous parle de valeurs, aborde tous les sujets avec sensibilité, humour et subtilité. Flocon chaton est une bénédiction , un cadeau pour petits et grands.
Marie Vermunt
Châteauroux Les Alpes
05 Alpes Maritimes
20 Juillet 2021
Chère Madame Michelle GRENIER
J' ai le grand plaisir de vous annoncer que vous êtes lauréate du prix poésie libre pour votre texte Je suis venue et aussi fait exceptionnel lauréate du prix Conte et nouvelle pour votre nouvelle Le festin de Juliette. Le jury de l' académie Renée Vivien à l'unanimité a salué la qualité de votre écriture et la beauté de vos textes .
Je vous adresse toutes mes félicitations ainsi que vos diplômes.
Au plaisir de vous lire
Amitiés poétiques
Marie Vermunt présidente de l' Académie Renée Vivien
Michel Santune
Orange
8 juillet 2021
Bonjour Michelle GRENIER
C'est avec grand plaisir que j'ai lu votre nouvelle "De l'autre côté du fleuve".
Vous y dépeignez une famille hyper traditionnelle avec un père omnipotent, une femme soumise et une fille-mère qui porte la honte d'avoir fauté , qui plus est avec un étranger , un macaroni. Je situe l'action dans les années cinquante, après guerre.
Les hommes , les mâles, ne ressortent pas grandis de cette peinture: le père est un despote orgueilleux qui n'hésite pas à broyer moralement sa fille , on ignore si l'amoureux, le père de l'enfant, va l'épouser ; quant au passeur, son comportement est celui d'une bête lubrique!
Vous excellez dans le réalisme et la peinture des caractères.
Encore merci pour cet écrit.
Michel Santune
Savary Louis
Colfontaine
Belgique
9 Mai 2021
Bonjour Michelle
C’ est avec un réel plaisir que je me suis laissé aller à te suivre sur les sentiers de la Poémienne où l’on s’égare pour mieux se retrouver. De Poémienne au Fabuleux chat noir, je me suis régalé de l’originalité de ton écriture, qui, mine de rien, comme aurait dit le fabuleux chat noir, nous en met plein la vue. Comme disait Jean d’Ormesson, le pastiche est un amusement raffiné.
De mon côté, je t’ adresse le numéro 4 de ma série théâtre. Ma prochaine publication affichera le numéro 100 , nombre que je me suis donné avant de déposer ma plume…
En toute amitié !
Louis
Laurent Bataille
14 Mars 2021
Avignon
Voici un disque intitulé « Mais avant » titre d’une chanson belle et grave qui nous parle de la vie et de la mort car la poète Michelle ne compose pas des chansons nian-nian ni bluette. Nous mourons un jour mais avant, nous aurons aimé tant et tant, jusqu’ à la cime, jusqu’à l’abîme. Nous aurons joué jusqu’à plus voix, jusqu’à plus doigt. Nos voix auront tremblé au souffle de la vie. Il est vivifiant d’écouter ces chansons toutes composées par Michelle, fine mélodiste. Une grappe de fraîcheur tonifiante à vous gonfler les poumons de particules de soleil. Tel le jubilatoire Voyou voyelle : Pour toi je volerai des rubis de baisers, des colliers de corail pour que tu t’encanailles. Les voix de Duo Du Banc, ces deux troubadours enchantent la fraternité retrouvée de l’ espérance.
Gil Milloud
Saint Jean De Muzol Ardèche
14 Janvier 2021
Bonsoir Michelle
Au fil des jours je picore les poèmes de Banquet de mots , le sucré et le salé .J'en laisse infuser certains comme une digestion lente dans tout le corps.Certains sont touchants,délicats,d'autres remuants,dérangeants,d'autres enfin entr'ouvrent les portes sur l'infini mystère. Quelques uns chantent avec la voix poétique de Léo Férré.Tous portent un élan ,le présent de la beauté... Je m'incline devant le talent.
Amicalement
Gil
Hervé Ribert
25 Novembre 2020
Note de lecture des fables Au fabuleux chat noir ,
parue dans Florilège
Confinée de nombreuses semaines, la nouvelle scène de la poésie du chat noir à Paris 18ème lança un appel internet à contribution poétique. Michelle Grenier plus connue sous son pseudonyme la poémienne , poète, fabuliste, parolière de chansons, rendue ivre de vers décida de mettre le cou-vers et de passer à fables .Chat alors ! Au fabuleux chat noir, C' est la fête du vers , le grand cirque des mots , l' auteure "satyre" le soutien de l'humour et déverse des torrents de bonheur qui inondent de plaisir le lecteur ébahi. Parole transgressive qui remet en cause le pouvoir , le pillage de la planète ,la bêtise et la vanité humaine. " Arrogant, l’œil bleu sémillant, le paon tond les moutons et tous ces fainéants ". Michelle Grenier rime avec une acuité personnel sur les choses de la vie. Elle chante la mélopée des griots. ..Telle une luciole encensée pour son ode à la vie, elle éclipse pour un soir Verlaine et Rimbaudelaire et revisite La Fontaine. Dansant d'un pas léger sous la coupole avec Jean D' O.
Paul Brunet
Aubagne
23 Novembre 2020
Qu'est-ce l' enchantement ? Ce sentiment de grâce à lire votre recueil de poésie
Banquet de mots. Votre voix est multiple : vous êtes cet "oiseau de passage effarouché par l'ombre d'une cage, vous libérez la poésie des carcans , qu'elle sème partout la zizanie". Vous rendez hommage à Federico Garcia Lorca dans le bouleversant poème mystérieux , La chanson que jamais je ne jouerai ,"Ma vie, ils l'ont saisie captive, sur une route blanche où tremble la lumière, où fleurit le genêt." Passerelle est une exquise promenade, clin d’œil à Verlaine "Le rosier grimpant se cramponne,offrant une dernière rose aux pétales givrés, et dans la conque de son oreille , un parfum indicible que le vent a pillé. "
Vous décrivez à merveille les clochards célestes comme ce "Capitaine des caniveaux, prince du bitume, qui, entre deux draps de brume , se verse une triple dose , sur ses rêves pas tout roses." Votre poésie est très incarnée comme dans votre morceau de bravoure semailles , ode à la virilité. Chaque poème est un petit tableau, autant pictural que musical , dont le style abouti n' enlève rien au sens et à l' émotion qui s' en dégage.
Il faut lire et relire banquets de mots pendant les longues soirées d'hiver qui durent et qui ne nous auront pas à l'usure grâce à la poésie.
Cordialement à vous
Paul Brunet
Philippe Veyrunes
Arles
Bouches du Rhône
8 Novembre 2020
Bonjour Madame Grenier
J'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de votre recueil, poémienne qui a tout à fait mérité d'être honoré par "Les amis de Thalie". L'emploi du vers libre, que vous maîtrisez bien, permet à votre parole et votre sensibilité de s'exprimer tout en nuances, plus aisément sans doute que ne l'aurait permis une versification rimée.
Les textes sont très contrastés, habités par le chagrin pour certains, vibrants d'espoir et de vie pour d'autres, voire révoltés, mais tous attachants et denses. J'ai relevé tout au long du recueil beaucoup de formules saisissantes et de belles images. Entre autres: "de fabuleux songes, ceux qui sommeillent dans la pupille d’un chat, "une nuit de décembre où nul ne se plaît aux cendres", "la peinture hurle des typhons de couleur", "la barbarie encagoulée de haine" ,"la vague qui festonne mes rêves" etc, etc...
Mes poèmes préférés sont: "Tu n'es plus", "Métisse", "Echo de l'une", "Peut-être", "Federico", "Je suis venue".
Je vous souhaite une inspiration aussi féconde pour les temps à venir.
Prenez bien soin de vous en cette période difficile.
Bien cordialement.
Philippe Veyrunes
6 Novembre 2020
Alain Nouvel Beauvoisin Drôme
Coucou Michelle,
Depuis plusieurs jours je lis ton Banquet de mots et je me laisse séduire par tes trouvailles, tes sourires, cette révolte qui est la tienne, ces coups de gueule, ces réminiscences. La poésie d'une grande Vivante, d'une assoiffée, d'une solitaire qui revendique sa liberté. C'est vigoureux, gai, angoissé parfois, gourmand. Il s'agit d'un banquet, on y mange, on y boit, et j'aime cet appétit qui est le tien, ces savoureux jeux de mots, cette sensualité rigolote qui est souvent présente. Chaque poème est un petit monde de sensations, une petite histoire, une tonalité. L'ensemble est généreux et roboratif, brossé avec esprit, léger.
J'aime ton attrait pour "la marge", pour la clochardise, l'errance, j'ai reconnu au passage des allusions à Baudelaire, Rimbaud, Prévert, Claude Roy et bien d'autres, tu es bien "poémienne", entre la bohémienne et la poétesse, cette sorte de "va-nus-pieds" de l'écriture. Merci pour ces beaux moments passés avec elle, avec toi.
Bisous.
Alain
30 Septembre 2020
Christian Perez
Thisy Les Bourgs
Rhône
Beau, votre recueil Banquet de mots l'est, par sa couverture ,c'est important , par son titre ,ça l'est encore plus, beau par son contenu , c'est indispensable, si tant est que la beauté soit l'effet recherché lorsque nous écrivons de la poésie.
Je n'ai pas votre talent pour parler de la poésie des autres et ma capacité à manier l'exégèse est quasiment nulle. Aussi me contenterai-je, n'étant aucunement habilité à aller au-delà, de quelques remarques de bon sens. J'aime votre poème "Poézizanie", page 12, qui sonne comme un manifeste.
"De la métrique, je m'en bats l'oeil
Voyez donc, dès le premier vers
Mes huit pieds marchent de travers".
"De la fantaisie avant toute chose" écrivez-vous dans ce même poème, en écho à Verlaine qui préférait le mot musique à celui de fantaisie. Et si Victor Hugo interdisait que l'on déposât de la musique sur ses vers, je trouve pour ma part que votre poésie s'y prête volontiers.
J'aime aussi le regard que vous portez sur notre quotidien. Dans "Mirador", page 13, vous écrivez : "Nous ne savons plus allumer que des smart phones qui nous épient jour et nuit. Saurons-nous allumer nos briquets aux étoiles?". J’adhère totalement.
J'ai remarqué que vous savez vous inspirer sans trahir ni piller. Dans "Mauvais vin", page 31, vous écrivez "Je voudrais pas crever par terre" empruntant à Boris Vian. Vous récidivez dans "Dernier vers pour la route", page 66. La manière dont on emprunte sans trahir ni plagier bâtit une forme d'hommage à la poésie tout entière, point de vue strictement personnel.
Voilà donc quelques mots rapides à propos d'une poésie délicate aux solides bases techniques et qui démontre à merveille qu'en étant "une amie pour soi-même" (page 58) on devient l'amie de tous.
Bien amicalement Christian Perez
Georges Chapouthier
27Septembre.2020
Paris
Beaucoup d'esprit dans votre recueil de fables Quand les fables se rebiffent.. D'humour aussi. Au fait, c'est qui Madame Toquée de la Tour de Limoges ? Beaucoup d'inventions verbales, des rosses de la vie à Godemichelle., beaucoup de rêves écologiques nous partageons tous un petit coin de nature, tout le monde est, à sa façon, un crapaud mal aimé. Bref on en vient à regretter que le monde ne soit pas davantage à votre image !
Amitiés,
Georges Chapouthier
Notes de lecture dans Florilège revue poétique
Par Irène CLARA
Poémienne
9 Septembre 2020
Belle trouvaille, ce titre Poémienne où bohémienne et poétesse ne font qu’un, où Les tsiganes à coups d archets lancinants passent d’une gaieté de truand au lamento à fendre l’âme.
Mich’ elle Grenier qui a remporté le prix du recueil des amis de Thalie en 2019 est à la fois cette rebelle qui Ira glaner hors des sentiers les herbes folles et leurs paroles et l’ évadée ivre de liberté , celle qui Fuit les routes macadamisées, échappée aux broyeurs de vie, sans œillère ni licou, rien qu’un peu de ce vent fou … Se glissant dans la peau des artistes dont elle a épousé l’ âme, que ce soient Federico Garcia Lorca , Van Gogh, Rimbaud, Cabu, Higelin ou Barbara, elle les réinterprète sur la page blanche où son stylo jubile. Ainsi croit-on voir surgir les coups de couteaux de Van Gogh à travers une langue qui tranche . Ta peinture hurle des Typhons de couleurs que nul cri n’efface. Les mots que Mich’ elle Grenier affûtent s’inscrivent dans la vision du travail de l’ artiste : Poète, traverse les brouillards, rends précise la brume, pourfends les nuées, chante une mer qui houle. Poète vibres -tu ? Que les vers rongent tout sauf la grâce de ta parole. Tâche accomplie et réussie comme en témoigne ce recueil.
Irène Clara
Patrick Devaux
Rixensart Belgique
20 Juillet 2020
Bonsoir Mich’Elle,
Je me suis délecté de votre « Banquet de mots », recueil plein de vie et très diversifié. On y côtoie la vie de tous les jours sous certains angles et l’imaginaire en même temps.
Le ton me fait penser aux auteurs qui manipulent la girouette littéraire façon La Fontaine, notamment pour les chutes. L’humour est présent en même temps que cette prise de conscience humaine qu’ont les poètes classiques (Ode à la virilité).
Les sujets traités font mouche d’autant qu’ils sont parfois tout à fait inattendus…
J’ai rencontré autrefois un poète qui s’exerçait dans le même genre de registre : Henry Abattu qui écrivait, notamment, ce qu’il appelait ses cauchemars. Vous cernez admirablement l’approche de la Nature (l’herboriste) et votre livre de poésie écrit parfois sur le ton de la recette ou du bon conseil suivi du clin d’œil qu’on devine rend votre poésie amie à la détente et à la réflexion. Le chaud/ froid traverse ainsi votre bel esprit avec un texte comme « soliloque ».
Le style est maîtrisé dans une sorte de continuité rigoureuse qui n’en donne pourtant pas du tout l’impression. Vous procédez par petites touches pour vous frotter aux autres Arts ou aux grands Hommes (Rimbaud, Verlaine, Van Gogh) avec cette envie intime de vouloir en savoir encore davantage sur eux…
Je partage ainsi avec vous cet amour pour Nougaro que j’ai rencontré à Bruxelles quand j’avais 16 ans. Il logeait au Grand Hôtel à Bruxelles où j’étais garçon de salle…mon tout premier emploi…J’ai ensuite suivi des cours du soir… Je me souviens qu’il écrivait ses textes, à table, sur des nappes en papier…qu’il emportait ensuite en morceaux…cela m’avait frappé…Timide à l’époque…je n’ai pas osé lui demander une dédicace…Je ne suis d’ailleurs pas sûr de savoir à l’époque ce qu’était ce genre de signature ah ah !
Amicalement
Patrick Devaux
Olivier Martin
Chambon Sur Lignon
Haute Loire
2 Septembre 2020
Lisez Banquets de mots, absorbez ce recueil comme on boirait le meilleur des vins, Enivrez-vous, suc mandarine vin nouveau tchin tchin et saoulez-vous de sève éclaboussée d' avril , panaché d' écume, confiture de pistil ... Tout doucement, goutte à goutte, laissez-vous émouvoir, rire et pleurer en même temps, écoutez ce que dit votre cœur. Puis fermez les yeux, pensez et rêvez en terre poésie.
Amitiés poétiques
Olivier Martin
Aline Petiot
15 Juin 2020
Gray Haute Saône
Ses poèmes naviguent entre le vent et le soleil, entre la rose rose et la violette pourpre. Elle exprime son amour, ses audaces, ses défaites, ses hommages poignants à l’art et ses artistes, comme un cœur qui bat fort, elle nous fait avancer, cheminer, flotter. La poémienne bohémienne, belle, se fiance avec la nature pour se sentir frivole : « J’ai couronné mon front/ De chèvrefeuille blond. / Nuit satinée de lumière/ Nuit de mes fiançailles/ Avec les cosmos/ Ces fleurs aériennes/Qui viennent frôler le ciel. ». C’est une fille des rafales et des mots.
C’est un bonheur profond de lire et relire ses multiples thèmes qui s’unissent…
Eric Scotto d' Apollina
5 juin 2020
Ezanville île de France
Bonjour Michelle,je reviens vers vous après avoir lu votre recueil poémienne à tête reposée et à voix haute...Vos textes agissent comme des baumes sur les blessures de la vie,et j'ai été sensible à ces petits tableaux-hommage qui se concentrent sur des personnes dont le pouvoir d'enchantement et d'irradiation donne de belles et généreuses consolations.Ce sont des portraits où se glissent des émotions personnelles,mais sans tomber dans l'ornière du lyrisme subjectif.J'ai eu des "coups de foudre",par exemple "Voix dénouée"et son lyrisme retenu qui agit efficacement sur des âmes et coeurs solitaires ,mais solidaires aussi.J'ai beaucoup aimé la tendresse qui irrigue "Clarinette" aussi,et vos petites odes ramassées en un élan d'énergie vitale,au poète,au vent , aux éléments de la nature nous portent à entrer dans la respiration du monde vivant.Vous avez su relier la grâce d'en bas-sur la terre- à celle d'en haut-le ciel-,entre le petit et le grand,et cette liaison élémentaire va de soi dans "Liseron","Scarabée",et d'autres ...J'ai,enfin,immédiatement eu en tête et ai même retrouvé un vieux disque vinyle de jacques Higelin après avoir lu votre "Chapeau l'artiste",et c'est parti pour un tour de "Champagne pour tout le monde"...Et "Barbara" m'a remis dans le coeur un souvenir d'été lointain où,jeune adolescent et travaillant avec mon oncle brocanteur,nous avions veillé une nuit sur des vieux meubles et bibelots dans le cadre d'un salon des antiquaires à la Grande-Motte,et où,au petit jour Barbara avait visité,seule et silencieuse,les allées de ce salon,car le soir même elle donnait un concert en cette ville balnéaire...Merci,Michelle,pour ces beaux moments de lecture et de réveil de souvenirs heureux!
Alain MORINAIS
7 juin 2020
Thiais Ile de france
Blog de l'auteur : http://alainmorinais.blogspot.com/
Bonsoir Michelle,
En ce jour de fête des mères, c'est La perdue de paroles qui me crie son silence à l'oreille, pourtant si éloigné de votre fantaisie dont le sourire vous va si bien. J'ignorais que Jacques eut une petite-fille "cachée" au Pré vert et qu'elle gagne tant à être connue.
Le Bel oiseau de passage m'a conduit très progressivement à la Passerelle de votre univers. Était-ce le vol nécessaire à prendre la mesure du coup d'aile, ou la page ailée s'aiguisant la plume à votre rencontre ; Vers les jours clairs de votre élan tel que je le perçois à présent.
Merci de m'avoir offert ce Banquet qui sans rester sur ma faim me laisse en appétit après avoir trinqué pour ce qui ne saurait être le Dernier vers pour la route.
Amicalement, Alain.
Nathalie Lauro
Cap d' Ail Alpes maritimes
2 juin 2020
J'ai lu "Flocon chaton", j'ai beaucoup aimé, ces petites poésies sont adorables. Ma mère, qui vit avec moi, l'a lu également. Nous nous lisions à hautes voix les vers rigolos, et il y en a bon nombre.Nous avons vraiment passé une agréable soirée. Ce recueil est doux et apporte de la joie au lecteur.
La couverture gloss est très jolie.
Très belle journée. J'espère que vous recevrez mon recueil rapidement et que vous l'apprécierez.
Amitié poétique,
Nathalie Lauro
Marc Rébéna
Hérouville Saint Clair Calvados
28 Mai 2020
J'ai reçu votre recueil Banquet de mots ce matin et l'ai parcouru avec plaisir. C'est une ode à la vie, à la liberté d'esprit et parfois à l'impertinence. Vous maîtrisez diablement bien l'art des vers. Pour moi, c'est cette alliance entre art classique et contenu parfois iconoclaste qui fait tout l'intérêt de votre banquet poétique. La poétesse est bien vivante et donne parfois des coups de griffe !
Félicitations à vous
Marc Rébéna
27 Mars 2020
Francesca Copelli
Avignon
Merci Mich'elle Grenier pour votre recueil Poémienne qui nous embarque dans une déambulation nomade, à la lueur d'une écriture légère, délicate et sensible.
Cheminement de l'âme qui nous emmène sur les sentiers de l'intime mais en même temps jette un regard éclairé sur le monde violent qui nous entoure . Votre poignant hommage à Federico Garcia Lorca m' a bouleversé : Continuez de nous enchanter.
Ils ont assassiné le poète,
Tempo criblé de plomb,
Le vent joue la cadence ,
Martelant les accords,
Bourdon d'une guitare qui soudain se rompt.
23Mars 2020
Serge De La Torre
La Bégude De Mazenc Drôme
https://instantsdecriture.blogspot.com
Me reste une grande joie, et un grand merci à dire, j'ai reçu cet exemplaire de Poémienne: une bien amicale surprise.
Trouée de soleil au milieu de sombres nuages, cascade de mots, florilège de poèmes divers écrits pour toutes saisons.
Comment ne pas être touché d'un si beau partage, comment ne pas dire en un mot un merci qu'on ne sait pas mieux dire.
Avec toutes mes amitiés et mes souhaits que nos routes se recroisent bientôt ou pourquoi pas, que nos mots se tissent sur la toile.
De bien belles choses dans ce livret de poèmes, poémienne, comme je les aime.
J' aime Poémienne également ou Métisse et le suc des mots de semblable manière. Le très touchant Je suis venue aussi. Mais plus facilement encore que d'élire au Panthéon des poèmes entiers, je préfère souvent retenir des extraits qui me chantent beau comme des flocons à l'oreille: comme cet hommage à Cabu:
Il est mort, le rieur, les doigts pleins d'encre
Gavroche du crayon, espiègle diablotin
Qui croquait la bêtise de sa plume épicée.
Higelin, homme de vive langue,
De chair drue
Sur le fil du vertige,
Tu danses prince gitan
Mèche rebelle,
Tu brames la vie intense ...
Je t'attends comme la rosée
Lampée au ventre des sources
Cette vie, la risquer,
Fracasser les cages
Briser les carcans,
Fouetter ses chimères
Aux crinières du vent
Merci Michelle pour cette belle surprise.
Jeudi 12 Mars 2020.
La tribune Montélimar
Laure Oswalt
Impertinent Au fabuleux chat noir !
La frondeuse Mich’ elle Grenier nous ravit avec ses nouvelles fables : Au fabuleux chat noir. La fable, à la sauce Grimelle , son pseudo magique, ou à la manière de la Fontaine décoche ses flèches cinglantes , si percutantes. Tout est débusqué par sa plume satirique : Le paon et les moutons qui ne sont autres que Macron et les gilets jaunes, les mannequins anorexiques, l’ Académie française , les gourous… Dans le grand cirque du monde pédalent des présidents dont la cour pullule de flatteurs et d’ hypocrites. Sa frénésie d’écriture répond à sa voracité livresque, mais n’en réchappe que le meilleur, ces vers qui se tortillent en musique, partitions ciselées en orfèvre. Un plaisir jouissif si vous aimez la langue. Parmi les écrivains qui la nourrissent, les incarnés et sensuels Hélène Desnoues, Colette, André Velter mais aussi les classiques jean Richepin, Flaubert, Verlaine et Rimbaud le flamboyant .
Au fabuleux chat noir est en vente au Marsannais à Marsanne, Au thé à la page à Montélimar, 10€.
Chez l’auteure grimelle@orange.fr ou sur son site ici.
13/02/20
Françoise Guinot
La Laupie Drôme
Je mets 20/20 pour le site de poémienne très réussi et les futurs poèmes
de cette année 2020. Je suis fan inconditionnelle de cette fabuleuse Poémienne.
12/02/20
Serge de La Torre
La Bégude De Mazenc Drôme
https://instantsdecriture.blogspot.com/
Un pamphlet vous dis-je ! Et subversif encore ! De façon radicale et toute à sa façon fine et pleine d’humour caustique! Oui, dans ce livre
Au Fabuleux chat noir, la fable est au service de l’irrévérence stimulante ( la meilleure, celle qui conduit à la conscience, à l’intelligence de l'esprit et du cœur !) Sans prétention affichée, sans même en avoir vraiment l’air ! Mais dans une façon très personnelle et travaillée de dire sous les douces apparences, quelque chose d’une critique de nos modes de vie un peu endormis par l’ordinaire, quelque autre chose des illusions dans lesquelles nous aimons parfois à accepter de nous voir bercés. Et combien d’autres encore de ces travers sont ici croqués en formes de gourmandises acidulées : hommes et femmes mêlés! Oui, à nous regarder en face à la loupe des poèmes de Mich’elle Grenier, il reste à faire, à être et devenir pour vivre en conscience et qui sait, simplement nous hisser à la hauteur de nos possibles. Mais, toujours, la tendresse poétique, l’humour et la dérision trouvent (elles ou ils) à nous aider, qui sait à nous sauver ! Dans les poèmes-fables de Mich’elle Grenier le jeu de mots tient le bout de la table, à sa droite siègent les rimes avec leur intelligence et leur aisance singulière, à gauche musicalité, polysémie et facéties se délectent. Le mot au service de l’idée. Et le silence entre eux pour dire ce qui n’a point besoin d’être expliqué, juste besoin d’être ressenti. Pour moi, ces fabliaux comme les autres poèmes de Mich’elle seront, à jamais, chuchotés, de mémoire, à mon oreille (au travers de son long tube magique cartonné) : Mich’elle Grenier se plut un jour à m’en dire un ainsi, lors d’un salon littéraire : une belle expérience que ce livre, comme ce poème dit à voix feutrée. Un plaisir raffiné!
14 /12 /19
Anne Reck Veyras Ardèche
Merci pour votre invitation à découvrir votre nouveau site sur la toile.Très chouette, très clair au niveau de la présentation, du menu et de la navigation. .Bravo à vous !Et merci pour toutes les infos dans votre agenda, c’est convivial et généreux. j’irai le consulter régulièrement. J’ai crée un site WIX aussi pour « Aquarelle en Liberté », je vous mets le lien des infos régulières aussi sur les expos du coin Drôme Ardèche. https://www.aquarelleenliberte.com/
Enfin vous dire que je suis très touchée de retrouver mes impressions à la lecture de Flocon Chaton, ... ça me donne envie de le relire .Tellement jolis ces petits poèmes !
14 /12 /19
Jeanne Champel Grenier Saint Laurent du pape
Bravo pour ce nouveau recueil de Fables ! Ce petit chat couleur café noir grignotant son croissant de lune dit que la nuit sera aussi belle que le jour et que tout lui est ouvert car l'imagination et la liberté n'ont pas de limites sur les traces de la poémienne... Tu m'apporteras ton livre, on échangera avec le mien qui vient aussi de grimper aux arbres citoyens et qui s'intitule:''Il y a très très longtemps...Il faisait beau''.
15/11/19
Alain Nocus Ghellab Salagnac Dordogne
Bonjour Mich'Elle
A Faux la Montagne au festival Folie les mots nous avons bien fait de faire le troc de nos livres. J 'ai lu Banquet de mots. J''ai touché sous ces mots un humus qui nous est commun , des référents de poésies et de chansons qui semblent avoir déposé leur grain sur nos sens respectifs .
Le banquet de mots va faire partie de mon bagage les quelques fois où on fera des retrouvailles lectures cet hiver avec une poignée d'amis.
je suis aussi allé visiter poémienne pour poursuivre notre petite rencontre et y ai retrouvé des Desproges , Cabu, Nougaro qui aussi se baladent, causent et recousent dans mon petit panthéon.
Il y a en Corrèze un festival poésie chanson à Concèze courant août auquel vous pourriez être sensible: festival Dec'Ouvrir. Et merci pour votre message, qui est arrivé le jour de mon anniversaire. je suis né au mois du coca, quelque jours avant que "certaine" l'abandonne pour le beau Jojo.
Bye Alain
10/09/19
Alain Nouvel Beauvoisin Drôme
J'ai lu et savouré tes " Fables de Grimelle ", avec ces animaux fort sympathiques, chat de gouttière, chatte obèse , zébu, Caniche et clébard et, délicieux, Raoul et les deux meufs, trois "animaux" d'un autre genre. C'est coquin et spirituel.
Je suis vraiment ravi que tu souscrives à ANTON, j'espère que ce personnage te plaira. Lui aussi a des relations très fortes avec la nature, tu verras.
Bien amicalement à toi !
Alain Nouvel
23/10/18
Anne Gary Veyras Ardèche
Ce que j’aime dans flocon chaton c’est l’alternance des poèmes au-dedans et au-dehors, comme flocon chaton qui revient avec ses « quatre pattes frigidaire pelotonnés contre sa mère... » trop mignon, le temps de faire le plein d’amour et repartir à la découverte du monde...Bravo à vous et merci encore ! Coup de cœur de mes 3 filles 13,15 et 19 ans, mon mari et moi pour Stalactite .... trop trop beau !!! suivi de très près par Bonne année, Noam, et Mamée Pissenlit... Sapin vivant aussi.... Très touchants, très beaux ! Mes filles ont beaucoup aimé aussi Li et Go.
Au plaisir de vous lire.
25/10/2018
Anne Gary Reck Veyras ardèche
Votre recueil Flocon chaton est tout en finesse et tendresse avec des mots simples. Il a quelque chose d’apaisant, de rassurant pour petits et grands. Il est question de l’hiver mais avant il y avait l’automne, et après il y aura le printemps.... Ces allusions à l’avant et à l’après inscrivent le lecteur dans une continuité, et place l’enfant dans un être au monde bien plus grand que lui (beaucoup de thèmes : le temps qui passe, la vieillesse, la mort, le partage, la tolérance, le respect de la nature, les fêtes qui rassemblent, les plaisirs simples ... LA VIE !Des mots qui chantent et enchantent ; des sonorités enveloppantes et joyeuses.
07/06/2018
Christian Perez Thisy les bourgs Rhône
Vos textes sont irréprochables. Je n'y ai décelé aucune faute d'un point de vue technique. Vous maitrisez totalement l'art d'écrire des poèmes. Ce n'est pas donné à tout le monde. Bien évidemment, et vous le savez aussi bien que moi, la poésie, ce n'est pas que cela. Il y a aussi la part dévolue à l'émotion, qu'elle soit d'ordre intellectuel ou émotionnel. Mais cette part là est extrêmement personnelle et subjective. Je ne m'aventurerai donc pas sur ce terrain à propos de vos textes. Je laisse à chacun de vos lecteurs le soin d'y trouver son compte... ou pas en termes d'émotion.
Chacun de vos textes est différent tant sur le plan de l'inspiration que de l'écriture. Métisse illustre parfaitement le thème du récent printemps des poètes sur l'Afrique.
"La vie", témoigne de votre versant écorchée-vive, exigeante dans le choix des êtres auxquels vous consentez à livrer une partie de vous-même. Je dirais qu'il faut vous mériter.
"Claudiquant" , sans doute le plus original, mais aussi le plus risqué car on peut vite tomber dans la facilité du jeu de mot pour le jeu de mot, ce qui n'est pas votre cas.
Voilà, chère Michelle. Je ne vous dirai pas : Continuez, vous êtes sur la bonne voie (bonne voix!) puisque vous êtes déjà une poétesse confirmée. Je pense aussi que si vous écriviez moins bien, vous écririez quand même, car l'écriture est pour vous aussi indispensable que l'air que vous respirez.
Je vous embrasse
Christian PEREZ
Artiz (Montélimar news)
Jongleuse de mots, Mich’Elle joue. Elle a des années-lumière gravées dans le creux de ses mains. Elle craint le jour où son cœur ne battra que d’une aile. En attendant, prosélyte, elle s’enivre de mots et merveilles. Reine des gueuses, elle vadrouille, renifle l’air du temps. Pas en en train, ni en bagnole, encore moins en avion. Elle n’ira pas à Madagascar. Sans doute écolo et partisane de la décroissance, elle n’économise pas ses ressources quand il s’agit d’interpréter ses textes. Lorsqu’elle se fait chat loupé (crasse-misère, poils rabougris), elle lève sa patte en proclamant : ni Dieu, ni maître, ni croquettes !
le 07/03/2018 à 09:36
Etienne Stéphane Saint Paul trois châteaux
Bonjour Mich'elle.
Je viens de lire ton poème Péché.
Quel plaisir !!!
Quelle fraîcheur !
Je te félicite, et cours sur ton site
Découvrir tes petits bijoux.
Myriam apprécie aussi.
Merci beaucoup
A bientôt j'espère .
Etienne